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 Rien ne nous oblige à danser

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MessageSujet: Rien ne nous oblige à danser   Rien ne nous oblige à danser EmptyVen 15 Jan - 21:09

Rien ne nous oblige à danser
Promesse & Bastian
Il paraît que l’on trouve toujours de quoi croquer une succulente pomme dans les clubs d’Amérique, il serait temps de voir si cette théorie est vraie. J’enfile une chemise noire, un jean pour le côté cool et décontracté, apparemment plus l’on paraît jeune et beau et plus l’on a de chances de rentrer. Oh je ne doute pas que même vêtu de mon plus simple appareil je pourrais mettre les pieds dans ce club, il me suffirait de contraindre le videur de boite, mais après tout, ce soir j’ai envie de me fondre dans la masse, du moins pendant les premières minutes, ensuite j’improviserai. Je ne prends pas la peine de me parfumer, mon odeur naturelle les fait toutes tomber. Faites place à votre cher Bastian, un nouveau grand charmeur débarque ce soir dans la ferme intention de voler toutes les dames à ces messieurs. Comme prévu j’entre sans le moindre problème dans ce club, dépassant toute la foule et faisant déjà des jaloux. Que croyez-vous pauvres humains, que j’allais attendre derrière vous ? Soyez réaliste, les hommes comme moi sont toujours les premiers réclamés. Bon il faut dire que mes quelques billets glissés dans la poche du videur aident aussi, mais vous n’aviez cas être riche ou bien un bon voleur comme moi.

Et oui, le vol est ma petite spécialité, on me paye cher pour ça, ou du moins on me payait. J’aime la fraude et l’illégalité, de quoi me rapprocher un peu plus du danger, de quoi rendre la vie d’autant plus excitante. N’êtes-vous pas du même avis ? Une vie passée assise derrière un bureau ne vaut pas la peine d’être vécue selon moi. J’entre donc dans cette boite, la musique se faisant de plus en plus forte au fur et à mesure que je descends les marches de cet escalier, puis il me suffit de pousser des portes et de profiter. La musique rythme les battements de cœur de tous ces humains insouciants, elle rythme aussi les pas de dansent de certains tandis que d’autres préfèrent regarder ou encore boire. Pour ma part ce sera les deux, un petit verre de Whisky pour se mettre doucement dans l’ambiance et me voilà à danser coller serrer avec toutes ces femmes si peu vêtues. Ce club ne manque pas de femmes c’est une certitude. Je danse avec une jolie brune qui se fait désireuse, ne me repoussant pas un instant lorsque mes mains se baladent sur ses fesses puis sous sa robe. Tiens donc, elle n’a pas de culotte, à croire qu’elle était déjà prête à s’ouvrir au premier venu. Désolé ma belle, tu n’as pas la chaire ferme que je recherche, mais je ne dis pas non à ton sang.

Je plaque une main contre sa bouche, simulant une danse plus rapprochée avec elle alors que je bois son sang. C’est tellement simple de vider l’une de ses poupées devant des dizaines et des dizaines de personnes. Aucun d’entre eux ne fait attention à quoi que ce soit. Je termine de la boire, laissant sa tête retombée contre mon épaule alors que je relève mon visage, essuyant d’un mouvement de main le mince filet de sang sur le coin de ma lèvre. Que vais-je bien pouvoir faire de toi maintenant ? Et bien plutôt que de la cacher, je la laisse simplement tomber par terre au milieu de tout ce beau monde et use de ma rapidité pour réapparaître près du comptoir. Les gens croiront à un évanouissement ou je ne sais quoi, enfin ils penseront à ça avant de remarquer qu’elle est morte, après ils la feront évacuer calmement pour ne pas alerter la foule et mèneront leur enquête. Je me tourne vers le barman, un certain sourire aux lèvres alors que je commande un nouveau verre lorsqu’une femme arrive près de moi pour commander le sien. Je ne peux empêcher mes yeux d’examiner son corps de la tête au pied en faisant évidemment un plus long arrêt sur ses seins et ses fesses. Délicieuse, il n’y a pas à dire et celle-ci me paraît bien ferme, comme je les aime. Je me mets dos au comptoir, accoudé dessus alors que mon regard sur la jeune femme se fait plus insistant.

- Bonsoir mi amor, chercheriez-vous un partenaire ? Je suis doué pour la danse mais si vous voulez tout savoir ce n’est pas ma plus grande spécialité.

Je l’examine un peu plus en attendant mon verre et sa réponse. Une blonde aux cheveux longs qui m’ont l’air bien doux à caresser. Des lèvres pulpeuses que je prendrais plaisir à goûter. Un regard ferme avec cette part de dangerosité. Un corps parfait, il n’y a pas à dire, ça ne m’étonnerait pas qu’elle ait été mannequin et ait fait la une des magazines. Toutes les autres femmes de ce club me paraissent bien ridicules à côté de celle-ci et vous voulez savoir quel est son petit plus ? C’est une strigoï.

- Mais si la danse ne vous tente pas, on peut tout aussi bien dévorer ces humains et prendre un bain de minuit ensanglanté. Qu’en pensez-vous ?
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MessageSujet: Re: Rien ne nous oblige à danser   Rien ne nous oblige à danser EmptySam 16 Jan - 1:23

Rien ne nous oblige à danser
Bastian & Promesse


Je fixe ce vide qui s’étale devant moi. Ce vide qui s’étale en moi depuis sa disparition. Arriverais-je un jour à tourner la page ? Réussirais-je à faire mon deuil ? Pourquoi a-t-il fallu que je trouve bon de faire un arrêt dans notre ancien nid commun ? Mon humeur venait d’en prendre un cou, et c’était le genre de détail qui finissait par un bain de sang. Cette soirée ferait-elle exception ? Un soupire s’échappe de mes lèvres, et je décide enfin de quitter cet appartement de tristesse. Je ne m’encombrerais pas de toutes ces pensées négatives ce soir. Je ne manquerais pas des les retrouver des mon réveil, alors autant les chasser de mon esprit pour cette soirée. Mes talons claquent contre le bitume mouillé rejoignant l’une des boîtes les plus branchée des quartiers nord. J’ignore ce qu’il en est réellement, mais je ne doute pas que je le découvrirais bientôt.

Je passe le pas de la porte, sous les regards appréciateurs de ces messieurs. Faut dire que ma tenue est plus que provocantes, mais au contraire de la grande majorité des femmes, j’ai un corps pour ce genre de tenue. Ne perdez pas votre temps, je ne partirais pas avec vous ce soir. Vous auriez pu avoir cette chance en d’autre circonstance, mais ce soir, je bois les choses en grand. J’ai besoin de distraction. J’ai besoin de l’oublier, et les exploits sexuels d’un faible humain n’y suffiront pas. L’ambiance m’a l’air plutôt agréable, mais j’attends encore de voir quel sera le déroulement de cette soirée. J’ignore encore ce qui la rendra exceptionnelle, mais je ne tarderais pas à trouver une idée qui m’aidera à passer le temps à ma façon.

Semblerait que cette idée vienne d’elle-même jusqu’à moi, sous la forme d’un bel homme. Je l’admets, le genre d’homme pour lequel je craquerais sans aucune difficulté, mais ce soir, son air supérieur me fait doucement rire. Mon beau, tu semble bien sûr de toi, et c’est une assurance que je me ferais un plaisir de faire disparaître. Nous verrons plus tard pour tes exploits sexuels, ce n’est pas ma priorité du jour. Nous verrons si tu le mérites réellement, et si tu es aussi doué que tu le dis, car pour l’instant, mon beau parleur, ce ne sont que des paroles en l’air, j’attends de voir, pour le croire.

« Pourquoi me contenter d’un unique partenaire, lorsque je peux avoir chacun des hommes présents »

Je serais folle de ne m’offrir qu’à toi, alors que tous ces hommes ne rêvent que d’attirer mon attention, non ?  Désolé mon beau, mais il faudra te monter plus persuasif que cela. Mon verre en main, je le porte à mes lèvres, profitant de ce court instant pour l’observer. Son charme est indéniable. J’aurais été stupide de ne pas le remarquer. Si les regards de ces messieurs sont rivés sur moi, ceux de ces dames, non d’yeux que pour lui. Comme je vous comprends. Malheureusement pour vous, il semblerait qu’il est décidé de s’amuser avec moi ce soir, il faudra donc passer votre tour. Mon verre vide, je le dépose sur le comptoir.

« Vous mettrez la note sur le compte de monsieur »

Tu as décidé d’abattre ton charme sur moi, autant que je profite de la situation  à mon avantage. Je suis loin d’être pauvre, ne vous trompez pas, mais la moindre des choses lorsque l’on tentait d’attirer une femme dans son lit, était de lui offrir un verre. Tu n’as pas eu cette délicatesse, j’estime que le prix de ce verre te revient de droit. En es-tu surpris ? T’attendais-tu à une telle audace ? Ou es-tu déçu et cesseras-tu de t’intéresser à moi ? Il semblerait qu’il en faille plus pour te décourager. C’est une bonne chose, tu marques des points, peut-être obtiendras-tu le résultat escomptait si la soirée que tu m’offres s’avère être aussi extraordinaire que tu m’en ventes les mérites. Bain de sang, aucun problème,  bain de minuit, tu ne l’as pas encore obtenu. Commençons donc en douceur, tu veux bien ? Je ne souhaite pas que ton égaux en prenez un coup, si je ne m’estime pas digne de toi.

« Ce programme m’a l’air bien plus intéressant.. Je t’en pris, impressionnes-moi »

Je ne suis pas du genre à contempler un carnage. Je préfère y prendre part, m’enivrer de cette odeur de sang, de peur, et de souffrance. Je ne tarderais pas à te rejoindre dans ce massacre, mais je suis curieuse de voir ce dont tu serais capable pour m’impressionner. Attention, le fin mot de l’histoire ce joue peut-être sur cette simple décision, alors ne me déçoit pas. Seras-tu me surprendre au point que j'accepte de m'offrir à toi ? C'est un défi que je te lance ce soir, et je serais ravi de voir ce dont tu es capable le, quelles sont tes limites pour charmer une femme. Je l'admets, il ne s'agit pas de n'importe quelle femme, je suis même plus exigence ce soit que je l'aurais été en temps normal, mais je suis sur que cela vaut le coup.

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MessageSujet: Re: Rien ne nous oblige à danser   Rien ne nous oblige à danser EmptySam 16 Jan - 2:14

Rien ne nous oblige à danser
Promesse & Bastian
Cette femme a un charme à rendre plus d’un homme fou, alors effectivement je serais fou de la laisser passer. Tous ces regards posés sur elle, toutes ces personnes qui la dévorent des yeux et ont des pensées obscènes, les hommes sont tous les mêmes et il faut avouer que je ne suis pas bien différent d’eux. Sauf que contrairement à la plupart on peut dire que j’ose et que je ne fais pas dans la dentelle. Désolé les gars, c’est moi qui passe au premier tour et je n’ai pas l’intention de la laisser filer, alors allez plutôt vous amusez avec d’autres femmes ou plutôt devrais-je dire filles, car à côté d’elle aucune n’est à la hauteur. Elle prend la parole, une voix douce et féminine, une voix qui ne doute pas de ce qu’elle dit et qui sait ce qu’elle veut. Il n’y a pas à dire, tout chez elle représente une terrible tentation. Et moi ma belle, est-ce que je t’attire ? Je suis prêt à parier que oui, je connais mon charme et je sais que je vaux bien mieux que tous ces hommes ici présents.

- C’est vrai, vous pourriez avoir chacun des hommes ici présents, mais mieux vaut un seul homme qui soit à la hauteur plutôt qu’une centaine de mauvais coups.

N’ai-je pas raison ? Je suis sûr que tu seras de mon avis. Ne sois pas outrée par une telle vantardise ma belle, je sais simplement ce que je vaux, je sais que je suis capable de bien plus de choses que tous les hommes de cette boite. Tu ne coucherais pas avec la moitié que tu serais déjà lassée, alors qu’avec moi on ne s’ennuie jamais. Elle boit son verre rapidement, voilà une femme qui sait y faire avec l’alcool on dirait, elle ne peut me plaire que d’avantage. Je ne peux retenir un sourire lorsqu’elle demande au barman de mettre la note sur mon compte. Evidemment, toute princesse qui se fait séduire se doit d’être séduite comme il le faut. Je me tourne à nouveau, faisant face au barman pour lui tendre deux autres billets en même temps que je m’empare du verre qui m’a été servi.

- Offrez-lui un autre verre de ma part, ou plutôt mettez sur mon compte tout ce que madame désirera.

Si tu étais tombé sur un autre homme, penses-tu qu’il t’aurait offert toutes les bouteilles de ce bar ? Moi je le fais, il faut dire qu’en étant un voleur aussi doué que je le suis, on ne manque pas d’argent pour s’amuser en soirée. Alors amuse-toi ma belle, mieux encore, amusons-nous ensemble. Je bois mon verre et lui propose un nouveau programme, bien plus tentant pour moi, peut-être le sera-t-il aussi pour lui. Apparemment tu sembles intéressée par le massacre que je te propose. Bien, une femme bourreau, tu montes de plus en plus dans mon estime beauté.

- J’y vais de ce pas ma belle. J’espère que tu seras à la hauteur de ma cruauté.

Après tout n’ai-je pas le droit de la mettre au défi moi aussi ? Je disparais quelques instants, prenant soin de bloquer les portes pour que personne ne puisse plus entrer et encore moins sortir. Ce ne serait pas un vrai massacre s’il y avait des fuites et donc des survivants. Je reviens au beau milieu de ce petit monde, attendant que ton regard me repère dans la foule avant de t’adresser un clin d’œil et de passer à l’action. Que vais-je bien pouvoir faire de tous ces humains ? Tellement de possibilités. Je repère plus loin un homme musclé, il fera parfaitement l’affaire. Je lui tords le bras, attrapant son autre poing en plein vol et le brisant aussi. Cesse de bouger veux-tu ? J’ai besoin d’une chose qui t’appartient. Je plaque une main contre son dos tandis que je tire son bras avec violence jusqu’à ce que sa chaire et ses os cèdent à ma puissance et se détachent de son corps. Les premiers cris sont poussés, mais avec le bruit de la musique la majorité des personnes présentes n’ont pas encore pris conscience de ce qu’il se passe. Ce bras est parfait pour faire une batte de baseball. Je l’attrape par la main, utilisant son épaule épaisse pour frapper l’un de ses camarades qui s’avance vers moi pour aider son ami. Sacrée arme ce bras dis donc, ça l’assomme complètement. J’en frappe plusieurs, tous les amis du baraqués qui tentent de s’affronter à moi avec pour seule arme ce bras face à leurs petites lames ridicules. Je les envoie tous au tapis. J’espère que tu profites bien du spectacle ma belle, bien que je n’ai pas encore fini. Une fois que tout le groupe est à terre, je me rapproche de la beauté blonde et l’attire vers le coin du bar avant de lui glisser quelques mots.

- Tu veux voir un vrai spectacle ? Surtout ne bouge pas d'ici.

Je disparais à nouveau. La musique s’est arrêtée sous les cris des autres. Certains tentent d’ouvrir les portes mais personne n’y parvient. La panique commence peu à peu à gagner ces humains, le moment que je préfère. La beauté blonde doit sûrement me chercher du regard, mais son attention sera bien vite attirée par le spectacle que je compte lui offrir. On entend un bruit sourd, comme ci quelque chose était en train de lâcher, puis les câbles cèdent un par un. Le silence remplit la salle durant trois bonnes secondes puis commence le carnage. Tous les spots de lumière attachés au-dessus de leurs têtes cèdent un par un, s’écrasant tout droit sur les humains et croyez-moi, un spot qui chute de plusieurs mètres sur un corps peut faire très mal. Tout le monde crie et se bouscule. Certains humains sont tués sur le coup, d’autres se retrouvent bloqués, d’autres encore blessés. Le sang a déjà bien coulé et pourtant je ne fais que commencer. J’apparais aux côtés de la beauté blonde qui n’a pas bougé et qui semble apprécier la vue.

- A toi de m’impressionner ma belle, ou alors on peut directement passer au moment où tu te jettes sur moi.
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MessageSujet: Re: Rien ne nous oblige à danser   Rien ne nous oblige à danser EmptyLun 1 Fév - 17:03

Rien ne nous oblige à danser
Bastian & Promesse


Je dois bien admettre que cet homme à un certain charme, le nier aurait été un mensonge, mais lorsque je vois son assurance face à la situation, je ne peux que me permettre de le remettre gentiment à sa place. N'ai-je pas raison après tout ? Pourquoi devrais-je me contenter d'un unique homme, lorsque je peux tous les avoir ? Mais on dirait que monsieur semble avoir réponse à tout ce soir, et je dois le reconnaître, il n'a pas totalement tord sur la question. Cela ne veut pas pour autant dire que je te cède si facilement. Bien sûr, cela serait bien moins compliqué de me jeter directement sur lui, mais comme toute bonne femme charmée, je souhaite savoir jusqu'où il est prêt à aller pour me mettre dans son lit, et j'en suis certaine, je n'en serais pas déçu. Je descends rapidement mon verre, indiquant au barman de mettre la note sur le compte de ce galant homme, qui m'offre d'ailleurs un second verre, et je ne manque pas l'offre qui se cache derrière ces paroles. Tout ce que je désirerais ? Vraiment ? Cela pourrait te revenir très cher, mais puisque tu as l'air sur de toi, ne viens pas t'en plaindre par la suite, je compte bien dévaliser ton compte en banque.

Je ne sais pas ce que tu as l'intention de m'offrir comme spectacle, mais cela me parait bien plus tentant qu'une quelconque danse. Pas que j'ai quelque chose contre la danse en elle-même, mais ce soir, ce n'est pas la piste de danse qui m'intéresse, mais bien cet homme, qui n'a pas peur d'oser pour m'impressionner. Cela faisait bien longtemps que l'on ne c'était pas autant démené pour m'avoir dans son lit. Penses-tu que tout cela en vaille la peine ? Penses-tu qu'au bout du compte, je céderais à tes avances plus qu'indécente ? Je suis certaine que tu n'as pas l'habitude de faire face à une telle résistance, n'est-ce pas ? Je suis certaine qu'en temps normal, les femmes te tombent dans les bras, pas vrai ? Mais j'aime l'idée d'être une exception. Après tout, je n'en serais pas aussi attirante si je ne me distinguais pas des autres femmes, non ? Je le regarde s'éloigner, et je prends place assise, sur le comptoir. J'aurais aussi bien pu prendre un tabouret, mais à quoi bon me gêné, de toute façon, vu comme les choses sont lancées, aucun ne survivra ce soir, alors je peux bien en outrer un ou deux, cela ne leur fera pas grand mal. Il est rapide, il n'y a aucun doute la dessus, plus que moi, et j'ai d'ailleurs du mal à le suivre du regard, mais je finis tout de même par le repérer au centre de la salle, après qu'il se soit assuré que toutes les issues soient bloquées. Alors, que comptes-tu faire, maintenant ? Je n'attends que cela, voir ce que tu as bien pu me réservé. Et je dois bien admettre que je ne m'attendais pas à cela, pourtant, je n'en cache pas mon admiration. Peut-être que j'aurais moi-même pu avoir cette idée avec un peu d'imagination, mais ce n'était pas dans mes intentions de la soirée. Dommage que tu ne te contentes que d'assommer, pour ma part, je me serais également assuré d'arracher quelques têtes au passage.

Je me retrouve soudainement sur mes pieds, et trainais vers l'un des coins les plus reculés de la salle, alors qu'il me demande de ne pas bouger. Je ne comprends pas vraiment où il veut en venir, mais je suppose que s'il m'a demandé de ne pas bouger, il vaudrait mieux que je ne bouge pas. Je le perds rapidement de vu, tu voudrais bien arrêter d'être si rapide ? Cela commence sérieusement à me taper sur les nerfs que tu es toujours un tour d'avance sur moi. Impossible de remettre la main sur lui, mais je n'en ai pas vraiment l'occasion puisqu'un bruit sourd se fait entendre, et que les projecteur cède un à un, s'écrasant sur les humains, en blessant d'autre. Le sang empli l'air, et ce mélange avec la peur et délicieux. Je l'aperçois alors qu'il s'approche de moi, pour s'arrêter face à moi, me cachant partiellement la vue sur ce massacre. Je reporte toute mon attention sur lui. Alors, maintenant, c'est à mon tour, c'est cela ? J'imagine que je n'ai pas vraiment le choix, bien que j'appréciais bien plus l'idée d'observer ta cruauté. Mais comme il est bien hors de question que je me jette tout de suite sur toi, je ne manquerais pas de t'impressionner à mon tour. Je m'approche de lui, le plaquant contre le mur, mes mains contre son torse, mes lèvres venant frôler les siennes. Je suis à deux doigts de craquer, mais je ne le fais pas.

« Ouvres grand les yeux, et n'en perds pas une miette »

Je me détourne de lui, sans un mot de plus à son attention, et saute derrière le comptoir. Tu t'attendais à ce que je craque aussi facilement ? Tu t'es planté, joli cœur. J'attrape une bouteille vide derrière le comptoir, et la brise contre celui-ci, de manière à ce que le verre devienne très tranchant, autant ne pas gâcher une bouteille pleine pour cela, nous en aurons besoin pour la suite. J'en prends une seconde, pleine pour moi. Je n'en aurais peut-être pas l'utilité tout de suite, mais cela m'évitera de revenir. Je m'approche de la petite foule qui s'est rassemblé dans un coin de la salle, et repère ce qui m'intéresse. Un jeune couple, un homme, et une femme, ce sera parfait pour ce que j'ai en tête. Là où tu as choisi de t'attaquer à plusieurs personne, je ne m'en prendrais qu'à deux ou trois. Ne trouves pas cela agréable ? De faire régner la peur autour d'eux, se demandant sans cesse qui sera le prochain ? Je m'approche du jeune couple, attirant la jeune femme jusqu'à moi, une main sur sa taille, je lui confis ma bouteille brisé, qu'elle accepte sans trop savoir ce qui l'attend. Je croise son regard, et il ne m'en faut pas plus pour la contraindre à tuer son compagnon.

« Tranches-lui la gorge ! Et n'oublies pas, la culpabilité, mène à la mort »

Je m'écarte d'elle, attirant cette fois-ci son compagnon, au centre de la pièce, à ces côtés, au milieu des projecteurs brisés, et des restes humains. Apparemment, il n'a pas entendu mes paroles, t'en mieux, cela n'en sera que plus agréable. Je le vois s'approcher d'elle, la prendre dans ces bras pour tenter de la réconforter. Je sais qu'à l'intérieur d'elle même, elle est en train de lutter entre ma contrainte, et ces sentiments, mais ma contrainte est bien plus forte, et le verre finit par trancher la peau de l'homme, ressortant de l'autre côté de sa gorge. Un mauvais sourire se dessine sur mon visage, alors que la tête de l'homme retombe au sol. Alors qu'en penses-tu ? Je suis encore loin d'avoir terminé, alors regardes bien. As-tu compris le second sens de mes paroles, mon beau ? Je suis certaine qu'elle, les a compris. Elle tombe à genoux, pleurant à chaude l'arme la mort de son compagnon, avant de prendre conscience qu'elle tient toujours cette bouteille brisée à la main. Lui revient alors mes mots à l'esprit, et je n'ai qu'un peu plus de fierté lorsque je la vois planté le verre directement dans son cœur, menant ainsi à sa propre mort. Alors ? T'attendais-tu à cela de ma part ? Suis-je à la hauteur de ta cruauté ? J'attrape la tête de l'homme reposant au sol. Autant que cela soit utile. Je la tiens par les cheveux, et la lance en direction de la vitre, qui se brise en mille éclat sous la vitesse du projectile. De toute façon, personne ne parviendra à s'échapper par cette fenêtre, vu les barreaux qui la bloque. Le verre se répand au sol, et sur les corps des humains restant. J'espère que cela est douloureux, mais au fond, je n'ai pas vraiment de doute vu le cri de certain d'entre eux. Je rejoins mon beau prétendant, tout sourire sur les lèvres. Alors, le spectacle t'a plus ? J'en suis certaine vu le regard que tu poses sur moi.

« Alors ? Qu'en penses-tu ? Suis-je à la hauteur ? »

Je m'intéresse enfin à ma bouteille, toujours pleine que je tiens à la main, et la porte à mes lèvres. Oui, c'est décidément une bonne bouteille. Je ne suis pourtant pas porter sur l'alcool en temps normal, mais celui-ci est délicieux, il n'y a aucun doute la dessus. Je lui tends la bouteille, un mauvais sourire sur les lèvres.

« Tu devrais essayer de te recouvrir d'alcool, peut-être que tu aurais plus de chance de m'attraper dans tes filets »

A vrai dire, je suis totalement sérieuse. Je ne sais pas si lui, prendra ma remarque au sérieux, nous le verrons bien, je suppose.

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MessageSujet: Re: Rien ne nous oblige à danser   Rien ne nous oblige à danser EmptyVen 5 Fév - 17:47

Rien ne nous oblige à danser
Promesse & Bastian
Suis-je assez sanglant pour toi ma beauté blonde ? Est-ce que tout ce sang qui coule dans l’unique but de te distraire et de te plaire a fait son effet ? Je pourrais encore en tuer bien d’autres si c’est ce qui me permet de te faire céder. Regarde ce bras arraché, ces humains assommés et couverts de bleus et tous les autres, blessés, bloqués ou tués. Sens-tu leur sang ? Sens-tu leur peur ? Sens-tu leur douleur ? Je suis sûr que oui. Je suis sûr que ça te plaît. Auras-tu envie de plus ou bien est-ce suffisant ? Si l’on peut passer directement au moment où tu m’arraches mes vêtements, je ne pourrais qu’en être comblé. Sauf que tu décides à ton tour de me montrer ce dont tu es capable, bien, va pour une petite démonstration alors, montre-moi donc ce que tu as dans le ventre.

- Je ne te lâche pas des yeux beauté blonde.

Je continue de la fixer derrière mon sourire narquois alors qu’elle s’écarte de moi, se dirigeant vers le bar pour s’emparer de deux bouteilles, une lui sera utile comme arme et l’autre, j’imagine qu’elle l’a prise pour sa consommation personnelle. Je m’approche à mon tour du comptoir lorsqu’elle le quitte pour se diriger vers un jeune couple, m’emparant d’un verre de Whisky remplit qui n’a apparemment pas eu le temps d’être servi. Je porte le verre à mes lèvres sans détacher mon intérêt de la beauté blonde qui murmure quelques mots à l’humaine qui me sont parfaitement audibles, ce qui n’est pas le cas de son petit ami en revanche. On dirait que tu aimes mêler l’esprit et le physique, voilà qui me plaît bien comme méthode. L’humaine se retire avec le morceau de verre de la strigoï et je ne perds pas une miette de la scène qui suit.

C’est fascinant de lire le doute, la peur, la douleur dans le regard de cette humaine. On peut ressentir et comprendre son combat intérieur rien qu’en l’observant. Son compagnon aurait pu se douter de quelque chose, mais n’oublions pas que l’humanité est parfois bien stupide. D’un mouvement rapide et sec, le bout de verre vient s’enfoncer dans la gorge de son petit-ami et la trancher. C’est bien sanglant comme façon de faire, mais après tout cette mise à mort vient de Promesse elle-même alors j’imagine que ça n’aurait pu être plus doux. Voilà qui me la fait d’autant plus la désirer, j’aime les femmes sauvages dans son genre, on ne s’ennuie jamais avec elles. J’attends que la fille en arrive à la seconde étape, la culpabilité mène à la mort. Je ne suis pas idiot pour ne pas avoir compris ce que ces mots signifient. La fille se retrouve à genoux au sol, pleurant à chaudes larmes jusqu’à ce que son regard se pose à nouveau sur ce morceau de verre. Va-t-elle céder à la contrainte ou aura-t-elle la force d’y résister maintenant qu’il s’agit de sa propre vie ? J’admets être curieux, mais finalement un peu déçu puisque l’humaine n’aura même pas cherché à lutter avant de se planter ce morceau de verre en plein cœur.

En tous cas je dois bien reconnaître que la beauté blonde m’a offert un bien beau spectacle. Je termine mon verre alors qu’elle s’empare de la tête de l’humain et la balance vers une fenêtre dont les morceaux tombent en plein sur des humains déjà blessés. De quoi terminer par une bonne petite touche de cris avant de me rejoindre. Je ne la quitte pas un seul instant des yeux, mon sourire toujours plus grand sur les lèvres alors qu’elle revient vers moi pour me demander ce que j’en pense. Ce que j’en pense ? Que tu es le genre de femme qu’il me faut. Le genre de femme avec qui je n’ai pas l’intention de laisser tomber. Je finirais par t’avoir beauté blonde, n’aies pas de doutes là-dessus.

- Tu mérites parfaitement ta place dans la société des strigoïs beauté blonde.

Je vois bien que tu es nouvelle parmi nous, pourtant tu m’as déjà convaincu, parfaitement à la hauteur. En général les nouveaux strigoïs ont plutôt tendance à m’insupporter, mais toi tu es différente, tu as déjà su trouver ta place parmi les grands, cela se voit dans ton regard. J’aime cette certitude, ce désir et la volonté que je peux y lire. Je m’empare de la bouteille qu’elle me tend après y avoir bu elle-même quelques gorgées. Serait-ce une provocation beauté ? Tu ne sais pas sur qui tu es tombée. J’esquisse un sourire avant de porter la bouteille à mes lèvres, buvant de grandes gorgées avant de finalement lui répondre.

- Je ne tiens pas à prendre le risque de flamber ma belle, en revanche...

Je jette un coup d’œil à ces humains puis sur les bouteilles et enfin sur elle. Un sourire cette fois-ci diabolique se dessine sur mon visage. Je m’empare de deux bouteilles et les vide un peu partout dans l’établissement pour réitérer l’action trois fois avec de nouvelles bouteilles. Je reviens ensuite vers Promesse et dépose une bouteille de Tequila dans sa main, une de Whisky dans la mienne.

- Le massacre est terminé, maintenant c’est juste toi et moi.

Je vois bien qu’elle me porte un regard interrogateur, mais même si ces humains sont encore vivants, je pense qu’elle va vite faire le lien avec l’alcool. J’attrape un briquet volé à l’un de ces glands sans même qu’il ne s’en soit aperçu et le balance au sol sur une flaque d’alcool. Etant donné les quantités que j’ai versées, on ne tardera pas à être touché par le feu nous aussi. Alors je glisse un bras sous les jambes de Promesse et une autre derrière son dos et la porte dans mes bras sans lui demander son avis, usant de ma rapidité pour quitter les lieux avant de ne plus pouvoir. On se retrouve dehors, à quelques mètres de l'établissement, pouvant voir le feu et entendre les humains crier, bloqués à l’intérieur sans pour autant prendre le risque d’être nous-même blessé. Je la dépose au sol, sourire aux lèvres avant d’ouvrir ma bouteille et de la porter à mes lèvres.

- Puisqu’ils sont tous en train de cramer, au moins à présent j’aurais toute ton attention. Alors beauté blonde, as-tu encore envie de me tester ou en as-tu marre de devoir me résister ?

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MessageSujet: Re: Rien ne nous oblige à danser   Rien ne nous oblige à danser EmptyVen 11 Mar - 18:26

Rien ne nous oblige à danser
Bastian & Promesse


Pensais-tu que j'allais te sauter dans les bras ainsi ? Juste parce que tu as commis quelques massacres devant moi ? Je suis désolée de te l'apprendre, mais ce genre de chose ne suffira pas à me mettre dans tes draps. Tu n'as pas de chance, tu passes après un homme qui a su être un formidable amant, comme un superbe créateur, tu devras m'offrir bien plus que cela si tu espères me faire craquer parce que pour l'instant, ce que tu m'as donné est tout à fait banal. J'étais transformé dans des circonstances les plus horribles qu'il puisse exister, j'ai été obligé de tuer ma sœur jumelle, pour survivre, alors quelques morts, par-ci, par-là, cela est loin de m'impressionner, tu devras me donner beaucoup plus que cela si tu escomptes vraiment me faire craquer, mais pour l'instant, étant donné que je n'ai d'autre choix que poursuivre ce massacre, je vais un peu te montrer de quoi je suis capable. J'ai pu voir que tu étais du genre à t'attaquer à un groupe, moi, je préfère m'attaquer à cette foule, un à un, m'accaparer leurs esprits, et les détruire bien plus que n'aurait jamais pu le faire ta propre idée. Regarde-moi, et prends en de la graine.

Je m'approche de ce couple, de cette femme, ma bouteille cassée à la main. Je ne ferais rien de moi-même, elle tuera son mari, son compagnon, ou je ne sais quoi elle-même. Je me contente d'imprégner cette idée dans son esprit, celle de tuer cet homme. Je n'ai pas besoin de faire grand chose, je n'ai même pas besoin de la pousser à agir, l'hypnose prend bien vite le pas sur ces sentiments. L'homme lui, comme un véritable crétin, continue toujours à la raisonner, le poussant à poser cette bouteille, à lui dire qu'elle pourrait se blesser avec. Mais elle ne compte pas se faire du mal à elle-même, pas tout de suite en tout cas, c'est plutôt à toi qu'elle compte s'en prendre, c'est toi, que tu aurais du protéger d'elle. Pauvre idiot, tout ce que tu auras gagner à essayer de raisonner la femme que tu aimes, c'est une mort plus rapide. L'amour rend faible, je l'ai appris à mes détriments, moi aussi, à la différence que je n'ai pas passé l'arme à gauche, cela m'a rendu plus forte, plus insensible. Jamais plus je ne retomberais dans les affres de l'amour, c'était une promesse que je m'étais faite en acceptant de le laisser partir, en acceptant qu'il ne ferait plus parti de ma vie.

Je me ressaisis vite. Hors de question que je me laisse aller à penser à de telles choses. J'avais décidé de laisser Adalrik derrière moi, à mon passé, de vivre ma vie comme je l'entendais, sans me détruire de son absence, et pour la première fois depuis longtemps, je m'amuse comme une folle, alors je ne viendrais pas gâcher cette soirée avec de mauvaises pensées. Je croise le regard de ma douce humaine, alors, qu'attends-tu pour poursuivre ton travail ? As-tu besoin que je m'accapare un peu plus ton esprit pour poursuivre ? Est-ce que maintenant que cela concerne ta propre vie, tu as quelques soucis ? Ce bout de verre ne te parait-il pas tentant pour mettre fin à ta vie ? Je serrais toi, je profiterais de l'offre que je t'ai faite de toi-même te précipiter dans la tombe, parce que de ma main, cela sera bien plus douloureux, je peux t'en assurer. Je fais rarement les choses à moitié, et lorsque je m'attaque au douleur de l'une de mes victimes, j'apprécie qu'elle me crie toute leur haine, toutes leurs douleurs. M'obligeras-tu à mettre cela en œuvre pour toi ? On dirait bien que non, elle finit par planter ce bout de verre dans son cœur, rejoignant son compagnon dans la mort.

Alors, que penses-tu de cela, mon beau ? Je n'en ai pas encore finis, pas tout à fait en tout cas. J'attrape la tête de l'homme, retombée au sol, plusieurs minutes auparavant, et la lance à travers la fenêtre, qui explose en une multitude de morceaux de verres, qui se repende sur le corps des humains restant. N'est-ce pas une fin en beauté ? Je mérite ma place parmi vous ? C'est en effet la raison pour laquelle Adalrik a fait de moi l'une des votre, oui. Je m'approche de lui, le rejoignant près du comptoir, d'où il n'a apparemment pas bougé, ma bouteille à la main, alors que je lui fais cette proposition. Peut-être qu'avec un peu de chance, tu accepteras de me faire plaisir, et alors, à ce moment, je pourrais revoir mon jugement sur toi, et penser à te faire plaisir. Tu prends ma bouteille, mais au contraire de ce que je pensais, tu ne te la vide pas dessus. Dommage, je ne me régalerais pas ce soir.

Qu'est-ce que tu as derrière la tête au juste ? Je ne le quitte pas des yeux alors qu'il vide ces bouteilles un peu partout dans la salle, les unes après les autres. Que comptes-tu faire maintenant ? Je ne comprends pas où tu veux en venir, peut-être que quelques éclairements serait les bienvenus. Aux dernières nouvelles, nous ne sommes pas encore en tête à tête. Mais je comprends mieux où il souhaite en venir lorsque je le vois sortir son briquet, et le lancer dans la salle, l'alcool prenant feu aussitôt. Je me retrouve dans ces bras l'instant d'après, et je dois bien admettre que cette sensation est agréable, mais ce n'est pas pour autant que je lui sauterais dessus dès maintenant. Mes pieds regagnent le sol, mais je ne m'éloigne pas tout de suite de son corps. J'approche mes lèvres des siennes, sans pour autant les toucher.

« Je suis déçu, je m'attendais à ce que tu joues le jeu.. »

Je laisse traîner mes lèvres contre les siennes, mais je ne l'embrasse toujours pas. Te rends-tu compte que tu as laissé passer ta chance quand tu n'as pas accepté mon offre. Tu as encore une bouteille, encore une chance, a toi de voir si tu la saisis, ou si tu la laisses passer. Je pose mes lèvres contre les siennes, avant de m'écarter de lui.

« Il m'en faudra plus que ça pour me convaincre.. »

Pour l'instant, ce ne sera pas suffisant, à toi de voir si tu saisis ta chance ce soir, ou si tu me laisse partir, et retente ta chance une prochaine fois.

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MessageSujet: Re: Rien ne nous oblige à danser   Rien ne nous oblige à danser EmptyLun 4 Avr - 13:43

Rien ne nous oblige à danser
Promesse & Bastian
Où nous mènera donc cette soirée beauté blonde ? Je n’avais pas prévu de passer la nuit avec un membre de mon espèce en entrant ici, mais on dirait que tu aimes bouleverser le programme des autres. Je dois bien admettre qu’être en ta compagnie est bien plus intéressant qu’aucune autre ici. Je vois que tu aimes la provocation, ça tombe bien puisque moi aussi, j’imagine que ça rendra notre planning d’autant plus intéressant ainsi. Jusqu’où sauras-tu me surprendre douce créature ? Et surtout, jusqu’où saurais-je te surprendre ? Car il semblerait que ce soir, ce soit d’avantage à moi de faire mes preuves alors que je suis le plus vieux, mais soit, si ça peut me permettre de passer du bon temps avec toi, je suis prêt à jouer le jeu. Tu découvriras vite que je ne renonce devant rien pour avoir ce que je veux et ce soir, c’est toi que je veux.

Oui, bien plus que tuer, torturer et faire couler du sang, ce sont tes lèvres que je veux embrasser, ton corps que je veux posséder. Alors dis-moi, que suis-je censé faire pour t’avoir ? Te surprendre ? Bien. Est-ce que ce petit massacre te plaît ? Je pourrais faire pire mais je ne tiens pas à choquer tes yeux innocents. Enfin il semblerait qu’innocente tu ne le sois pas au vue de ce que tu me montres ensuite, en tous cas je ne suis pas déçu de voir comment ce couple répugnant fini ses jours. Macabre certes, mais tellement plaisant. De toute façon il suffit de sang, de cris et de larmes pour me divertir. Ma beauté blonde revient vers moi, sourire aux lèvres, bouteille en main et toujours pleine de provocation. Tu veux que je me verse de l’alcool sur le corps ? Navré beauté, mais je ne te fais pas encore assez confiance pour ça et puis je tiens à cette veste en cuir.

Non à la place c’est la boite dans laquelle nous nous trouvons que j’inonde d’alcool, en aspergeant partout, sur les meubles, les murs, les humains. Tu ne vois toujours pas où je veux en venir ? Je pense que ce briquet te donnera un gros indice. Et oui beauté, on dirait qu’il est temps pour nous de partir, mais ne t’en fais pas, on peut trouver de bien intéressantes activités à faire seuls à seuls. La boite prend feu à une vitesse fulgurante e je ne perds pas de temps à la prendre dans mes bras pour nous faire quitter l’endroit. Je l’aurais bien gardé plus longtemps contre moi, mais je ne suis pas du genre à forcer les dames, je préfère lorsqu’elles me réclament. On dirait bien que le jeu se passe juste entre toi et moi à présent. Que faisons-nous maintenant ? Est-ce qu’on continue les tests et provocations ou bien on passe à une étape bien plus intéressante ? Il semblerait que tu ne sois toujours pas décidée à céder, dommage, mais je ne lâcherai pas l’affaire pour autant, je suis un homme persistant.

- Ne sois pas déçue beauté blonde, je pourrais te surprendre dans de meilleurs domaines que celui-ci.

Accepteras-tu enfin de te laisser tenter ? Cette proximité entre nous est en train de me rendre fou. Ne joues pas ainsi avec mes nerfs beauté, ça pourrait se retourner contre toi, mais au fond je pense que ça ne te déplairait pas. Je ne cherche pas m’éloigner, je ne reculerai jamais devant une si belle femme. Es-tu prête à dépasser la dernière ligne qui nous sépare ? Ses lèvres se déposent contre les miennes, mais ce n’est pas un baiser, seulement un effleurement. Tu aimes décidément jouer on dirait. Ne t’a-t-on donc jamais dit qu’il ne faut jamais provoquer le loup ? J’ai le regret de la voir s’écarter de moi, le regret de constater qu’elle ne me cédera pas encore. Si c’est jouer dont tu as envie, sache que je suis un très bon joueur, mais que je préfère toujours mes jeux à ceux des autres. Je finis par reprendre mes esprits, avalant une grande gorgée à la bouteille que je tiens entre les mains avant de finalement reprendre la parole.

- Dans ce cas j’ai un nouveau jeu à te proposer, ça s’appelle : épelle mon prénom. Evidemment, on doit l’écrire avec des corps humains, à ta place je les tuerai pour ne pas qu’ils bougent et ruinent l’une de tes lettres. La partie gauche de la ruelle est à toi, la droite est à moi. Si je termine en premier, je décide de ce que l’on fait pour le reste de la soirée, si tu gagnes et bien c’est toi qui auras les commandes.

Est-ce que cette proposition te convient ? Je suis sûr que tu n’as encore jamais testé un jeu pareil, mais sache que je suis assez imaginatif lorsqu’il s’agit de tuer en s’amusant. Alors, as-tu peur de perdre ou prendras-tu le risque ? J’ai plutôt hâte de voir comment est-ce que tu t’en sortiras face à moi. Je repose mon regard dans le sien, l’air provocateur. J’espère que tu as bien réfléchis et surtout, que tu ne te dégonfleras pas.

- Deal ? Au fait, je m’appelle Bastian, ce qui te fait donc sept lettres, mais je suis sûr que le tien saura m’offrir un véritable challenge.

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