Sujet: When your words mean nothing, I go la la la - Aurora Castle Dim 20 Juil - 18:21
Aurora Castle
ღ Nom : Castle ღ Prénoms: Aurora ღ Date de naissance : 19/10/98 ღ Lieu de Naissance : Glasgow ღ Âge : 16 ans ღ Statut : Célibataire ღ Groupe Désiré : Élève Dhampir
Informations
Description de Votre Personnage
The world is going to judge you no matter what you do, so live your life the way you want to.
Oui je suis rousse, très rousse. Mais d’où je viens, il y en a plus qu’aux États-Unis. Ce n’est pas grave, parce que je suis fière de mon origine écossaise. Même si cela fait quelques années que j’ai déménagée ici, quand je parle vous pouvez toujours distinguer mon accent. Si on me demande « quel est ton défaut? », je réponds « l’honnêteté ». Quand on me dit « en quoi c’est un défaut ? », je réponds « comme si j’en avais quelque chose à faire de ce que tu penses? ». Vous l’aurez deviné, je suis assez indépendante et on dirait que rien ne peut m’atteindre. On dirait seulement. À l’intérieur, tout se chamaille. Est-ce que j’aurais dû répondre ça à la place ou est-ce que j’aurais dû être plus gentille ? Après quoi je me dis, oui, tu es bien une fille pour avoir tant d’idée qui te tourne dans la tête un gars ça doit pas autant penser.
Puis après, je me dis que si j’étais un gars, je ne pourrais pas m’habiller, me maquiller ou encore avoir autant de vêtements de fille. Je me sens automatiquement mieux ! C’est vrai quand temps que Dhampir je devrais pas m’attarder à des choses aussi banales, mais moi, j’aime ça ! J’aime la mode, les nouveautés dans le monde du maquillage… j’envie souvent les Moroï qui ont le temps et l’argent pour faire tout faire ça. Il ne s’entraine surtout pas ce qui rend les choses beaucoup plus simple ! Moi, et bien ! Je mets des vêtements d’entrainement et l’uniforme. Concernant le maquillage, quand je ne me lève pas en retard, je mets quelque fois du mascara hydrofuge. Pour mes millions de cheveux, je les mets souvent en tresse, en queue de cheval ou encore en chignon. Beaucoup plus pratique et beaucoup moins chaud. Que voulez-vous, comme on dit, on fait avec les moyens du bar !
Voici ma petite Histoire
We're happy free confused and lonely at the same time, it's miserable and magical.
Je suis née il y a 16 ans dans un de ces « villages ». Je ne sais pas comment les appeler, mais bon, j’y ai grandi pareil. Je suis née dans la ville de Glasgow en Écosse. J'ai été élevé par ma mère jusqu’à temps que l’heure soit arrivée. Non pas l’heure d’aller à l'académie, quoi que oui aussi, non l’heure que ma mère meurt. Je n’étais pas très veille, mais assez pour comprendre ce qu’il se passait là-bas. Ma mère avait un aimant, il s’appelle Alekseï. Un bel homme au tempérament incertain certes, mais il rendait ma mère heureuse et moi, c’est tout ce que je voulais. Même si je savais que ma mère tombait facilement en amour, je n’étais pas naïve. Je savais que son amourette était pour passer rapidement comme tous les autres dont elle tombait éperdument amoureuse. J’étais trop jeune à l’époque et dans ma crise d’adolescente du « je-m’en-fou », pour comprendre ce qui se passait ou était-ce que je ne voulais pas le comprendre ? Peut-être un peu des deux disons.
Un soir d’été où il faisait une chaleur accablante, je ne peux pas m’empêcher de préciser ici que ça doit arrivé peut-être deux journées par année en Écosse, ils avaient une grosse discussion. Bref, je les attendais de ma chambre tellement ils criaient un par dessus l’autre. Habituellement à cette heure, je dors. J’aime bien dormir, mais avec la chaleur, j’étais absolument incapable de m’endormir. Ça, c’était sans compter le bruit qu’ils faisaient. Je comprenais ce qu’ils disaient, mais en même temps j’étais tellement blasée par la fatigue et la chaleur. Bref, j’étais lâche. J’ai finalement décidé de me lever pour aller voir ce qu’il se passait et parce que j’avais soif. J’avais tellement chaud !
Avec un peu de volonté, j’ai finalement réussi à descendre les marches pour me rendre à la cuisine. C’était la pièce qui était la plus loin de ma chambre et donc, celle que ma mère utilisait pour les « discussions » sérieuses. C’était bizarre parce que quand j’étais à l’étage, j’attendais des voix, mais une fois au rez-de-chaussée, plus rien. Peut-être ils m’avaient entendu descendre et avait fait "pause" sur leurs arguments. Il y avait de la lumière dans la cuisine comme à l’habitude. Ma mère restait souvent éveillée tard le soir, rien ne m’inquiétait pour l’instant. Mais une fois rentrée dans la cuisine, là ma vie a changé pour toujours.
Quand on découvre que sa mère a été froidement tuée par son amant Moroï, c’est pire qu’une douche froide. À ce moment là, je peux dire que je n’avais plus chaud. En fait, j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps. Ma mère était morte, la seule à avoir toujours pris soin de moi n’était plus de ce monde. Seulement aujourd’hui, je m’en veux de ne pas avoir couru après cet homme pour lui faire la même chose qu'il venait tout juste de faire. Aujourd’hui, on me demande comment je fais pour m’entrainer et ne jamais arrêter de le faire. C'est simple, je pense aux évènements de cette nuit là et je retrouve la force.
Je pense au meilleur ami de ma mère qui m’a pris sous son aile et m’a envoyé à l’académie pour m’entrainer et devenir Dhampir. Je n’ai pas vraiment eu le choix, mais je ne regrette pas. Par contre, je ne sais toujours pas si je peux faire confiance au Moroï. Après tout, c’est l'un des leurs qui a tué ma mère. Donner ma vie pour défendre des tueurs de d’autres tueurs… je ne sais pas. Une chose est certaine par contre, si je m’entraîne aussi fort c’est pour qu’un jour, si je croise le chemin de ce Alekseï, il va le regretter.